Villes Périphériques - Warwick |
Moulin à battre à vendre par E.Cantin de Warwick. Je suis sur que des gens de Princeville en ont achetés. |
No d'identification : ??? L'Union des Cantons de l'Est, (28 SEPT. 1900) : 2-3. 1900, 09-28 p2-p3, moulin à battre.JPG |
Journal |
Église Ste-Élisabeth vers 1915, 41-12.jpg | Expo 1998 - Film 41 | |
Église Warwick, plan façade plan A, 41-20.jpg | Expo 1998 - Film 41 | |
Église Warwick, plan façade plan A, 41-21.jpg | Expo 1998 - Film 41 | |
Église St-Médard Warwick par Ayotte 1877, 44-20.jpg | Expo 1998 - Film 44 | |
Église et presbytère de Warwick, 41-14.jpg | Expo 1998 - Film 41 | |
Église Warwick après agrandissement, 41-16.jpg | Expo 1998 - Film 41 | |
Église Warwick avant agrandissement, 41-15.jpg | Expo 1998 - Film 41 | |
Warwick, église façade et statues, 49-13.jpg | Expo 1998 - Film 49 | |
Warwick, église façade août 1948, 49-16.jpg | Expo 1998 - Film 49 | |
Warwick, église vue aérienne 1979, 49-21.jpg | Expo 1998 - Film 49 | |
Restauration de l'autel Warwick, église bénévoles à l’autel 1999, 49-12.jpg |
Expo 1998 - Film 49 | |
Warwick, église choeur transformé 1969, 49-14.jpg | Expo 1998 - Film 49 | |
Warwick, église intérieur, 49-11.jpg | Expo 1998 - Film 49 | |
Église Warwick, plan intérieur, 41-19.jpg | Expo 1998 - Film 41 | |
Église Warwick, int. Visite de Mgr Bruneau, 41-13.jpg | Expo 1998 - Film 41 | |
Église Warwick, intérieur, 41-17.jpg | Expo 1998 - Film 41 | |
Warwick, église peinture « Le Ressuscité » 1969, 49-15.jpg | Expo 1998 - Film 49 | |
Photo prise à l'automne 1932 du pont couvert de Warwick qui enjambe la rivière des Pins en direction de St-Albert.
Pont couvert sur la route de St-Albert en 1932, CN-BW-026.JPG |
Carton Noir - BW | |
Construit en 1909, ce pont de fer enjambait la rivière des Pins sur la rue St-Louis, direction sud-ouest.
Pont de fer sur la rue St-Louis, CN-BW-025.JPG |
Carton Noir - BW | |
Gare de Warwick, chefs de gare a Warwick, CL-CHE-026.jpg | Classeur - CHE | |
Gare de Warwick, CL-CHE-026.jpg | Classeur - CHE | |
Gare de Warwick, Cartable Richard Pellerin_1.JPG | Cartable 16-FRP-053 | |
Gare de Warwick, Cartable Richard Pellerin_3.JPG | Cartable 16-FRP-053 | |
Don de Richard Pellerin QUI67, gare de Warwick en 1914.jpg |
Disque patrimoine | |
Don de Richard Pellerin QUI185.jpg |
Disque patrimoine | |
Gare de Warwick, Cartable Richard Pellerin_2.JPG | Cartable 16-FRP-053 | |
Photo de la gare de Warwick en 1948. Elle fut construite après l'incendie de la première gare le 14 juillet 1901. Ce jour-là,
le feu détruisit 34 autres propriétés de Warwick. Le 13 octobre 1989, le train quitte la gare pour une dernière fois. Le chemin de fer fut démantelé en 1990.
Gare de Warwick en 1948, CN-BW-029.JPG |
Carton Noir - BW | |
Photo de la gare prise vers 1910. De g. à d.: L'auberge des Bois-Francs, ainsi que les manufactures de la Warwick Overall (1903),
et de Hardes construites à la fin du 19e siècle (vers 1890).
Gare et manufacture vers 1910, CN-BW-030.JPG |
Carton Noir - BW | |
En 1938, départ de train du voyage de noces d'Adrienne (fille du "Boss" Letarte) et d'Hercule Bergeron de Warwick.
Voyage de noces en train (1938), CN-BW-028.JPG |
Carton Noir - BW | |
Henri Levasseur était à bord du train. |
No d'identification : ??? L'Union des Cantons de l'Est, (5 mars 1925) : 2-3. 1925-03-05 p6-p7, train et accident.jpg |
Journal |
Vue extérieur de la résidence de M. Félix Baril, rue St-Louis à Warwick. La partie droite du rez-de-chaussée servait de magasin général.
Cet édifice a été démoli en 1980 pour faire place à la Caisse Desjardins de Warwick.
Magasin Félix Baril vers 1900, CN-BW-038.JPG |
Carton Noir - BW | |
Maison Baril a Warwick, LB32-P10.JPG | LB G.-P N. | |
Vue intérieur du magasin général situé dans la résidence de M. Félix Baril, rue St-Louis. Le 2e à droite est Ovide Baril, fils de Félix,
à sa gauche, un de ses jeunes frères.
Intérieur du magasin de Félix Baril en 1900, CN-BW-039.JPG |
Carton Noir - BW | |
Résidence de Monsieur Émile Tessier. Dès 1903, il s'établit comme quincaillier, plombier-couvreur et poseur d'appareil de
chauffage à vapeur, à eau chaude et à air chaud.
Magasin d'Émile Tessier vers 1903, CN-BW-001.JPG |
Carton Noir - BW | |
Cette bâtisse construite vers 1895 a servi de résidence, de magasin, d'hôtel, de banque, etc… Son premier aurait été Mathias Rioux.
En 1909, J.-N. Vaillancourt la transforma en hôtel et y opéra le "New Warwick Hotel" pendant quelques années seulement. C'est aussi dans ce bâtiment que la première Caisse populaire ouvrit ses portes le 23 février 1921 à même la pharmacie tenue par M. Agésilas Kirouac. Il acquit la bâtisse en 1942. La Caisse y demeura jusqu'en 1956. Elle devint plus tard un magasin de "coupons" appelé "Chez Blanche". La bâtisse est présentement utilisée comme résidence privée. New-Warwick Hotel (vers 1910), CN-BW-021.JPG |
Carton Noir - BW Livre 19-DIV-061 p.320 |
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Premier garage Baril, attenant à la Warwick Overall ou le montage des autos s'effectuait après l'arrivée des pièces détachées par le train du Grand Tronc.
Premier garage Baril, rue St-Joseph, CN-BW-033.JPG |
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Restaurant populaire de Ferdinand Marcotte (alias Ti-bi) fut en opération jusqu'en 1940. Il devint un magasin à rayons
qu'on appelait le Magasin Talbot. Celui-ci fut détruit par un incendie en février 1965.
Restaurant populaire F. Marcotte vers 1930,CN-BW-002.JPG |
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M. Willie Caleb Houle était bijoutier et photographe. Il a fait installer chez lui le premier téléphone qui fut posé à Warwick.
Plus tard cette bâtisse devint l'Hôtel Warwick ou l'hôtel Brisson (car elle appartenait à M. Roland Brisson).
Résidence et magasin de W.C. Houle avant 1910, CN-BW-014.JPG |
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Photo prise en 1908 devant la maison de Mlle Jessie Grosset. Le vendeur de pains serait un "certain" monsieur Lemay de Warwick
en compagnie du boeuf "Jonas". Il vendait du pain et des galettes à Kingsey Falls.
Le vendeur de pains (1908), CN-BW-023.JPG |
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Premier charretier de Warwick, A. Désilets, CN-BW-024.JPG |
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Photo prise en 1937 de la voiture et du cheval d'Adélard Charest servant à livrer le pain aux maisons. Le cheval s'appelait "La Monne".
A remarquer: la courroie attachée à la patte avant du cheval avec pesée au sol assurant la tenue en place du cheval pendant l'absence du livreur.
Voiture servant a la distribution du pain (1937), CN-BW-022.JPG |
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Vers 1908, la famille de Félix Baril avec leurs voitures 'Ford'. En 1907, Henry Ford révolutionne le monde de l'automobile avec son modèle
T. Les Baril obtiennent une sous-agence de Girdwood & Stockwell pour la distribution
dans tout le Québec. A remarquer: les fils Baril au volant de leur propre automobile.
Voiture vers 1908, CN-BW-034.JPG |
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En 1908, les frères Baril au volant de leur Ford T. A remarquer : l'immatriculation artisanale personnalisée.
Ford T en 1908, CN-BW-037.JPG |
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Corbillard appartenant à J.O. Leblanc.
Le corbillard, CN-BW-020.JPG |
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Nous pouvons voir, au centre, la banque d’épargne qui allait devenir la Banque Provinciale. A droite, nous apercevons la
résidence de W.C. Houle, photographe et bijoutier. A gauche, cette maison allait devenir plus tard le Studio de photos de M. Jacques l'Heureux; pour ensuite devenir le Studio de Richard
Coté, lui aussi photographe. Banque d'épargne ou Provinciale vers 1910, CN-BW-015.JPG |
Carton Noir - BW | |
Bureau de poste, résidence et magasin de Louis Triganne avant qu'ils ne subissent des changements majeurs. En fait, il est plus que
probable que cette photo ait été prise entre 1874 et 1899 puisqu'elle nous est présentée en faisant référence à Triganne. Or Mr. Triganne a été maître de poste de 1874 à 1899. A gauche de la photo,
l'immeuble qui abrita le magasin d'Ovide Baril à partir de 1910.
Bureau de poste et résidence de M. Louis Triganne, CN-BW-027.JPG |
Carton Noir - BW | |
Batteuse construite par Étienne Cantin, Manufacture de transformation de la laine et de moulins à battre le grain.
La batteuse no. 3 du catalogue de 1916 se vendait $210. Elle était opérée par un cheval qui fournissait l'énergie nécessaire à son fonctionnement. "Batteuse activé par un Horse-Power fabriqué par les industries Cantin. Pour un moteur à deux chevaux le coût était de $120 et pour un cheval c'était $80. Le pont servant à faire monter les chevaux sur le HP ne sera fourni que sur demande. (Citation tirée de la liste de prix de 1916.) Batteuse construite par la Manufacture E. Cantin, CN-BW-013.JPG |
Carton Noir - BW Livre 19-DIV-061 p.320 |
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Transport Leblanc fut fondé en 1953 par M.Germain Leblanc. A son décès en 1972, ses trois fils continuent les opérations.
Depuis 1979, Michel est le seul actionnaire avec son épouse Jocelyne Bougie.
Camions de Transport Leblanc, CN-BW-003.JPG |
Carton Noir - BW | |
La Dominion Comb and Novelty succéda à la Cie française de Tabletterie et fabrique des produits d'utilité courante : peignes,
aiguilles à tricoter, jardinières, etc., même les bouchons des bouteilles d'aspirine Bayer. Pour se conformer à la loi sur la langue française, elle a pris le nom de Plastique DCN en 1978. La famille
Letarte est toujours propriétaire de cette compagnie.
Dominion Comb et Novelty Co, vers 1940, CN-BW-010.JPG |
Carton Noir - BW | |
Photo de la première usine de portes et châssis de Roland Boulanger prise vers 1960. A partir de 1942, date de la fondation de
l'entreprise, plusieurs agrandissements ont eu lieu : séchoir à bois automatique dans le but de fabriquer des moulures, des portes, des persiennes. Puis la compagnie s'attaque au marché des maisons
pré-usinées et mobiles en fournissant des portes, cadres de porte, moulures, etc... Malheureusement, le vendredi 9 février 1973, tout s'envole en fumée. Sur la droite de la photo, la première petite usine de portes et châssis.
L'usine de bois de construction R.Boulanger, CN-BW-018.JPG L'usine de bois de construction R.Boulanger, CN-BW-019.JPG |
Carton Noir - BW | |
En 1928, Antonio Baril se porte acquéreur d'une usine de portes et châssis propriété de son beau-père, M. Georges Paradis.
Vers les années 1940, l'entreprise familiale prend de l'essor et la superficie de la manufacture est doublée et on y installe alors un séchoir à bois. En 1956, l'usine est installée dans des
locaux plus spacieux, sur le boulevard Gingras afin de répondre aux demandes sans cesse grandissantes.
L'usine de portes et chassis de J.A. Baril, CN-BW-009.JPG |
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En 1887, M. Étienne Cantin achète un moulin à scie situé sur la rivière des Pins. Il y ajoute la transformation de la laine brute
en tissus et la fabrication de la batteuse mécaniques. Cette usine construite après l'incendie de 1910 continue la production de tissus de laine et d'instruments aratoires sous le nom de la Cie Cantin de Warwick jusqu'en 1920.
La Cie Cantin de Warwick vers 1910, CN-BW-012.JPG |
Carton Noir - BW | |
Cette Cie à fonds publics, déjà en opération depuis 1903, fabriquait des bijoux à partir de corne de bœuf travaillée à la vapeur.
Actionnaire depuis 1905, M. Alphonse Letarte "Le Boss" l'achète en 1918. Elle devint la Dominion Comb and Novelty Company et commença à fabriquer des objets en celluloïd et en plastique.
La Cie Française de Tabletterie (3) en 1903, CN-BW-011.JPG |
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La manufacture de Hardes de Warwick avec tous ses employés. En 1898, un groupe d'hommes d'affaires, dont Félix Baril et Étienne
Cantin, fondent la Manufacture de Hardes de Warwick. En 1905, François-Xavier Kirouac dirige l'entreprise et en devient le principal actionnaire. Il double la capacité de l'édifice pour employer 60 ouvrières.
La manufacture de Hardes de Warwick vers 1905, CN-BW-032.JPG |
Carton Noir - BW | |
A l'arrière plan, nous apercevons la Warwick Overalls Company construite sur la rue St-Joseph en 1902 pour la fabrication de salopettes.
Détruite par un incendie le 21 mars 1946, elle ne fut pas rebâtie. Au premier plan, la manufacture de Hardes de Warwick qui, elle fabriquait des vêtements vendus sous la marque Leader Brand, sur les
marchés américains et européens. L'usine fut démolie en 1935 après avoir fabriqué des planches et des machines à laver.
Manufactures de Warwick (vers 1910), CN-BW-036.JPG |
Carton Noir - BW | |
Moulin et cour à bois de Roland Boulanger. Le moulin était actionné par un engin à vapeur et était situé sur la rue St-Joseph
près de la voie ferrée. Roland Boulanger avait acquis ce moulin de M.Arthur Perreault. Le moulin fut incendié en 1949 et ne fut pas rebâti. (A l'arrière plan, le mont Gleason)
Moulin et cour à bois de Roland Boulanger, CN-BW-008.JPG |
Carton Noir - BW | |
Équipement lourd servant à rouler ou aplanir les chemins. L'opérateur était un monsieur Coté de Victoriaville (beau-père d'Armand Letarte).
Son trajet consistait à rouler le "macadam" de Victoriaville à Danville (peut-être même jusqu'à Richmond) et à revenir à son point de départ.
Tracteur servant à rouler les chemins, CN-BW-016.JPG |
Carton Noir - BW | |
A gauche, un des moulins à scie de M.Félix Baril (1888). A droite, l'usine de boutons en ivoire et en corne de bœuf travaillée
à la vapeur, était une compagnie à fonds publics. Une des premières usines à procurer de l'emploi aux femmes et aux jeunes filles. La manufacture de boutons était située sur la rive de la rivière des Pins.
Une des premières usines à procurer de l'emploi aux femmes et aux jeunes filles.
Usine de boutons en ivoire de Félix Baril (3) en 1893, CN-BW-006.JPG Usine de boutons en ivoire de Félix Baril (rue St-Louis),CN-BW-007.JPG |
Carton Noir - BW | |
La Warwick Woollen Mills Ltd fut fondée en 1920 par Onésime Kirouac et trois autres actionnaires : Edgar Laliberté,
Étienne Cantin et Agésilas Kirouac.
Usine no.1 de la Warwick Woollen Mills Ltd. vers 1935, CN-BW-004.JPG |
Carton Noir - BW | |
L'usine no.2 de la Warwick Woollen Mills Ltd, que les gens de la place surnommaient 'La Woollen d'en haut'.
L'usine no.1 était située près de la rivière des Pins et par sa situation géographique, on l'appelait 'La Woollen d'en bas'. Les usines no.1 et no.2 employèrent jusqu'à 250 ouvriers et ouvrières.
L'usine no.2 était située sur la rue du Cimetière. En 2001, cette rue port le nom de rue Hôtel-de-Ville.
Usine no.2 de la Warwick Woollen Mills Ltd. (1938), CN-BW-005.JPG |
Carton Noir - BW | |
En 1951, c'est le début du Verger des Horizons avec ces équipements de travail et ses camions de livraison.
Verger des Horizons en 1951, CN-BW-017.JPG |
Carton Noir - BW | |
Première usine de la Warwick Overalls fondée par F.X. Baril pour ses fils, Rodolphe et Lucien, située sur la rue St-Louis en 1900.
Elle fut détruite par un incendie en 1903, mais reconstruite aussitôt sur la rue St-Joseph.
Warwick Overalls Co. (2) en 1900, CN-BW-035.JPG |
Carton Noir - BW | |
Rodolphe Baril au volant d'une Mitchell.JPG | Disque patrimoine |
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Georges E. Ling, Warwick, Livre 100 iem, p56.JPG | Livre 100e | |
Warwick, 19-DIV-061, p.417.JPG | Livre 19-DIV-061 | |
Alfred Laliberté sculpteur, LB27-P03.JPG Alfred Laliberté, LB27-P08.JPG |
LB G.-P N. | |
Alfred Laliberte, LB11-P68.JPG | LB G.-P N. | |
Alfred Laliberté, 19-DIV-061, p.353.JPG | Livre 19-DIV-061 |